L'armée secrète des nazis après 1945

Quand la réalité dépasse la fiction. Livres, Dessins, Histoires, Musiques, Films. Partagez-les !
Avatar de l’utilisateur
gregoire_lk
Héritier de Babel
Messages : 229
Inscription : 01 janv. 2013, 16:15
Localisation : 92

L'armée secrète des nazis après 1945

Message par gregoire_lk »

Un court article publié récemment sur le site Slate.fr :
http://www.slate.fr/monde/86961/nazis-armee-secrete

De quoi s'agit-il ?
Une armée de l'ombre montée par d'anciens officiers nazis, à partir de 1949 et jusqu'à 1955.

En quoi cela nous intéresse ?
C'est à rapprocher de plusieurs révélations dans les années 90 sur différents groupuscule anti-communistes, parfois d'extrême droite), financés par les Etats-Unis, coordonnés par l'OTAN : les cellules stay-behind, aussi parfois appelés réseau GLADIO (Glaive en français, Schwert en allemand).
http://fr.wikipedia.org/wiki/Stay-behind

Bon, et alors ?

La mise en place de ces réseaux dissimulait en réalité un projet important des templiers : Garde Noire.
Garde Noire était l’appellation des forces armées qui devaient permettre au Temple de prendre le contrôle des États lors de l’Apocalypse.

Le développement des troupes SS se fit originellement dans cette optique, avant que les templiers allemands ne se perdent dans leurs rêves de grandeur.
Au lendemain de la Guerre, la continuation du projet Garde Noire fut confiée à l’Ordre des chevaliers invisibles de Saint-André, une obédience de Manteaux Blancs (LdB, p. 98 ) basé en Angleterre.
Ces agents infiltrèrent l’OTAN et mirent en branle le développement des réseaux stay-behind. Leur mission était, en cas d’offensive soviétique, de mener des actions de guérilla et de sabotage sur les arrières du Pacte de Varsovie. Les origines de ce concept sont à trouver dans le réseau Werwolfallemand en 1944 qui devait mener la résistance dans les territoires occupés par les Soviétiques.
Ainsi furent développés les réseaux GLAIVE en Allemagne, Autriche, Belgique, Danemark, Espagne, France, Grèce, Italie, Luxembourg, Pays-Bas, Suède, Suisse et Turquie.
Ces groupes recevaient une formation militaire poussée et un entraînement spécial pour des opérations de clandestinité totale.
Coupés de la hiérarchie militaire classique, ils étaient sous l’influence directe de l’Ordre de Saint-André. Malheureusement, en 1990, l’existence du Gladio italien fut officiellement divulguée par le gouvernement Andreotti (http://fr.wikipedia.org/wiki/Gladio)
Or il apparut que ce groupe entretenait des relations plus qu’étroites avec le mouvement d’extrême-droite du Prince Borghese. Les remous politiques occasionnés par ses révélations conduisirent à la dissolution des réseaux à travers toute l’Europe et les «gladiateurs» retournèrent dans l’ombre.
Une fois encore, le projet Garde Noire fut un échec.

Et aujourd'hui ?

Cette armée secrète nazie - et les autres incarnations du projet Garde Noire - ont été autant de filières d'exfiltration pour des agents des Arcanes mineurs.
Les templiers, bien sûr, notamment de l'Ordre teutonique. Mais aussi des membres de la Rose+Croix ou des Mystes du Septentrion.
Certaines caches qui devaient servir de refuges à ces réseaux secrets de résistance sont encore disséminées à travers l'Europe.
Elles renferment probablement encore des moyens occultes :
  • Un homoncule à libérer
  • Des élixirs mystes permettant de renforcer les capacités (p. 163)
  • Les reste de documents d'autres Arcanes mineurs, sur des recherches secrètes commencées durant la Seconde Guerre mondiale...
--
lK.
Répondre