Re: Campagne Fab' / Sardman
Publié : 21 mars 2021, 11:55
Séance 10
***SPOILER***
Suite à la réminiscence de certains de vos souvenirs, vous recontactez Samash et Emaïn. Le premier, rentré d'Autriche, est maintenant en Suisse où il a contacté l'Hospice de la Narcose de l'Arcane XIV - La Tempérance. Le second, quant à lui, vous demande de l'attendre le temps qu'il puisse vous rejoindre à Lyon.
Pour ne pas perdre de temps, vous vous rendez au Musée d'Histoire de la Résistance et de la Déportation, où votre première impression est... désagréable. Le lieu vous évoque de mauvais souvenirs. Siège de la Gestapo durant la Seconde Guerre Mondiale, il abrite d'abondantes archives sur les hommes et les femmes qui ont lutté dans la région contre les nazis. Attentifs au moindre détail, vous ne parvenez malheureusement pas à faire ressurgir de nouveaux souvenirs en ce lieu...
Parallèlement, en continuant à interroger Sarkor, vous apprenez que chaque camp prenant part à la Guerre éternelle désigne un champion de manière différente, et que l'Arcane VIII - La Justice sert parfois d'arbitre dans les joutes et défis que se lancent les protagonistes des champs Polémoka. Il vous invite à éviter l'Ordre du Saint-Sépulcre, obédience templière locale, et vous précise que règles du jeu changent selon les factions, les époques et la localisation de chaque affrontement.
Vos réflexions vous amènent à penser que, incarnés durant les Années noires, vous formiez une cellule de résistants particulière, peut-être nommée Etrusca. Chacun y aurait porté le nom d'un dieu étrusque (Nethuns pour Emaïn, Velch pour Samash), et vous savez que deux d'entre vous - peut-être les mêmes - étaient basés à Vichy et Saint-Étienne.
Vous contactez une nouvelle fois Vanth afin de lui communiquer votre désir de la rencontrer sur Lyon, mais n'avez pas le temps de vous morfondre sur sa laconique réponse, Emaïn frappant à ce moment précis à votre porte. L'évocation des souvenirs contenus dans le cahier et sa lecture une fois à vos côtés lui remémorent un épisode de son incarnation des années 40 : il se revoit dans une chambre d'hôtel de style Belle époque, à Vichy, cachant ses souvenirs sur un mur et les recouvrant d'une tapisserie. Vous décidez donc de vous rendre tous les quatre dans l'Allier afin d'aider votre frère à retrouver la mémoire.
Une fois sur place, il n'est pas difficile de faire la liste des hôtels ayant survécu aux ravages du temps, et plus encore des hommes. Quatre d'entre eux seulement pourraient correspondre à la vision d'Emaïn.
Le Nouveau Vichy, le premier que vous visitez, porte fort mal son nom. A l'abandon, squatté depuis plusieurs mois, il abrite une faune bigarrée de ZADistes rêvant de revivre Notre-Dame des Landes sous l'œil mi-agacé, mi-amusé de la maréchaussée locale. Cette dernière ne devrait d'ailleurs plus tarder à intervenir selon les articles de presse que vous avez pu consulter. Vous y êtes accueillis par "Le Comité", sorte de Politburo qui vous invite à prouver votre engagement en réalisant une action illégale en ville afin de s'assurer de votre bonne foi.
Rechignant à passer à l'action immédiatement, vous décidez de poursuivre votre enquête à la Vichyssoise, à quelques encablures de là. L'établissement accueille une congrégation d'antoinistes, dont le gourou local n'est autre qu'Hygie, un Faërim monnayant ses pouvoirs de guérison contre une part non négligeable des revenus de ses ouailles. Il vous donne son autorisation pour inspecter l'hôtel, grâce au concours de M. Gustave, le concierge, mais vos déambulations dans l'établissement ne réveillent rien chez Emaïn. Vous lui êtes désormais redevables...
Le soir, au Castel des Eaux, la réceptionniste vous accueille dans une salle de restauration chic, mais un peu froide, et vous fait bien comprendre que l'établissement est assez à cheval sur le règlement. Ne pouvant vous sustenter faute de réservation, vous vous résignez à partager des tapas vegan autour d'un jus sans alcool au bar de l'hôtel. Emaïn parvient à se faufiler dans les étages et à s'introduire dans une chambre... pour se rendre compte que la majeure partie du bâtiment a fait l'objet de rénovations successives, et que les chances de retrouver une trace de son passage sont minimes.
Vous rentrez donc dans votre location du centre ville de la sous-préfecture sans avoir pu, pour le moment, remettre la main sur les souvenirs de votre camarade Hydrim. Reste l'Hôtel Beauséjour, que vous n'avez pas encore visité !
***FIN SPOILER***
***SPOILER***
Suite à la réminiscence de certains de vos souvenirs, vous recontactez Samash et Emaïn. Le premier, rentré d'Autriche, est maintenant en Suisse où il a contacté l'Hospice de la Narcose de l'Arcane XIV - La Tempérance. Le second, quant à lui, vous demande de l'attendre le temps qu'il puisse vous rejoindre à Lyon.
Pour ne pas perdre de temps, vous vous rendez au Musée d'Histoire de la Résistance et de la Déportation, où votre première impression est... désagréable. Le lieu vous évoque de mauvais souvenirs. Siège de la Gestapo durant la Seconde Guerre Mondiale, il abrite d'abondantes archives sur les hommes et les femmes qui ont lutté dans la région contre les nazis. Attentifs au moindre détail, vous ne parvenez malheureusement pas à faire ressurgir de nouveaux souvenirs en ce lieu...
Parallèlement, en continuant à interroger Sarkor, vous apprenez que chaque camp prenant part à la Guerre éternelle désigne un champion de manière différente, et que l'Arcane VIII - La Justice sert parfois d'arbitre dans les joutes et défis que se lancent les protagonistes des champs Polémoka. Il vous invite à éviter l'Ordre du Saint-Sépulcre, obédience templière locale, et vous précise que règles du jeu changent selon les factions, les époques et la localisation de chaque affrontement.
Vos réflexions vous amènent à penser que, incarnés durant les Années noires, vous formiez une cellule de résistants particulière, peut-être nommée Etrusca. Chacun y aurait porté le nom d'un dieu étrusque (Nethuns pour Emaïn, Velch pour Samash), et vous savez que deux d'entre vous - peut-être les mêmes - étaient basés à Vichy et Saint-Étienne.
Vous contactez une nouvelle fois Vanth afin de lui communiquer votre désir de la rencontrer sur Lyon, mais n'avez pas le temps de vous morfondre sur sa laconique réponse, Emaïn frappant à ce moment précis à votre porte. L'évocation des souvenirs contenus dans le cahier et sa lecture une fois à vos côtés lui remémorent un épisode de son incarnation des années 40 : il se revoit dans une chambre d'hôtel de style Belle époque, à Vichy, cachant ses souvenirs sur un mur et les recouvrant d'une tapisserie. Vous décidez donc de vous rendre tous les quatre dans l'Allier afin d'aider votre frère à retrouver la mémoire.
Une fois sur place, il n'est pas difficile de faire la liste des hôtels ayant survécu aux ravages du temps, et plus encore des hommes. Quatre d'entre eux seulement pourraient correspondre à la vision d'Emaïn.
Le Nouveau Vichy, le premier que vous visitez, porte fort mal son nom. A l'abandon, squatté depuis plusieurs mois, il abrite une faune bigarrée de ZADistes rêvant de revivre Notre-Dame des Landes sous l'œil mi-agacé, mi-amusé de la maréchaussée locale. Cette dernière ne devrait d'ailleurs plus tarder à intervenir selon les articles de presse que vous avez pu consulter. Vous y êtes accueillis par "Le Comité", sorte de Politburo qui vous invite à prouver votre engagement en réalisant une action illégale en ville afin de s'assurer de votre bonne foi.
Rechignant à passer à l'action immédiatement, vous décidez de poursuivre votre enquête à la Vichyssoise, à quelques encablures de là. L'établissement accueille une congrégation d'antoinistes, dont le gourou local n'est autre qu'Hygie, un Faërim monnayant ses pouvoirs de guérison contre une part non négligeable des revenus de ses ouailles. Il vous donne son autorisation pour inspecter l'hôtel, grâce au concours de M. Gustave, le concierge, mais vos déambulations dans l'établissement ne réveillent rien chez Emaïn. Vous lui êtes désormais redevables...
Le soir, au Castel des Eaux, la réceptionniste vous accueille dans une salle de restauration chic, mais un peu froide, et vous fait bien comprendre que l'établissement est assez à cheval sur le règlement. Ne pouvant vous sustenter faute de réservation, vous vous résignez à partager des tapas vegan autour d'un jus sans alcool au bar de l'hôtel. Emaïn parvient à se faufiler dans les étages et à s'introduire dans une chambre... pour se rendre compte que la majeure partie du bâtiment a fait l'objet de rénovations successives, et que les chances de retrouver une trace de son passage sont minimes.
Vous rentrez donc dans votre location du centre ville de la sous-préfecture sans avoir pu, pour le moment, remettre la main sur les souvenirs de votre camarade Hydrim. Reste l'Hôtel Beauséjour, que vous n'avez pas encore visité !
***FIN SPOILER***